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Musique sur site

 

Juste un peu de musique. Celle du groupe "Boisson Divine" pour commencer.

Deux clips vidéo, dont l'un est sans doute infiniment plus "politique" que l'autre.

Avec les références du groupe, qui m'a donné son accord écrit pour figurer ici. Ce dont je les remercie.

Pour ceux qui préfèrent YouTube (pour avoir les paroles) je vous donne les liens, et l'accès direct au site officiel du groupe:

Libertat: https://youtu.be/Rws8ID7HAOk

Quin Braguèr: https://youtu.be/1aKQMmCfYzM

boisson_divine_logo.jpg

Après "Boisson Divine", j'ai eu envie de placer là un autre groupe du Sud-Ouest:

Nadau

http://www.nadau.com/

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En attendant l'accord (s'il arrive) pour extraire une vidéo, je vous joins le lien de celle que je voudrai utiliser:

"La hèstaretour des fêtes de Dax"

https://youtu.be/sh0Jac6ql9o

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La présentation vaut la chanson, vous ne perdrez rien à l'écouter en entier. Elle vous explique la suite.

Sans compter que dans votre vie nocturne ça peut toujours vous servir...

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Et puis, si Nadau veut bien, j'aimerai aussi pouvoir ajouter un autre titre de leur répertoire:

"De cap tà l'immortèla"

https://youtu.be/nnXm_Eo4KDk

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Je pose la question; je vais attendre la réponse. Je ne fais pas les choses sans accord écrit.

Surtout quand on a simplement un site personnel et que l'on s'adresse à un groupe de plus de 40 ans de métier.

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Je ne suis pas originaire du Sud-Ouest, où je n'ai vécu et travaillé que peu de temps, entre 1984 et 1985, à Pau.

C'est donc pour la musique et les qualités que je trouve à ces groupes que j'avais envie de les voir là, sur mon site.

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Il y en aura d'autres. Pas beaucoup, car je souhaite héberger les vidéos pour ne pas vous gaver de publicités en ligne.

Donc je serai forcément limité, mais une poignée me suffit.

Que ce soient des gens sympathiques, et une musique que j'apprécie.

 

Pour le reste peu importe l'origine.

Je ne ferme pas ma porte à la culture et en particulier à la culture musicale.

Ce n'est que mon point de vue, vous avez le droit d'en avoir un autre.

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Site Officiel du groupe NADAU.png

Musique de Corse

Un ajout ce samedi, avec un titre éternel que déjà Tino ROSSI chantait:

"Ti tengu cara": https://youtu.be/WmOeIW0G2S4

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Après cela, Quatre groupes différents, quatre thèmes différents.

Deux titres avec texte et traduction, deux sans.

Sans autre raison que mon bon vouloir. Le corse, ça se mérite.

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En premier, Surghjenti; c'est la famille, que je salue en passant.

Parce que si les premiers seront les derniers, les derniers ont donc toutes leurs chances.

Parce que je crois être l'un des derniers, au sens où ils le chantent.

https://youtu.be/BeESmb8_c6I

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En second, Diana SALICETI, qui a été une belle surprise dans le paysage musical Corse.

Parce qu'elle raconte une histoire que je ne connais que trop bien, sur une musique que l'on imaginait pas en Corse.

Parce que ce clip "casale", "paesanu", "nustrale" avec plein de guillemets que je pose partout est un aimable délire.

https://youtu.be/cnLvD_-clZA

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En troisième, Attallà, avec cette lettre muette, en noir et blanc... au décor, aux couleurs, et à l'amour de nos anciens.

Parce que ce texte - pour aussi "mélo" qu'il soit, devrait s'apprendre dans les écoles.

Parce que j'en connais un certain nombre qui ne m'ont jamais écrit ou jamais répondu, et... pas faute d'études.

:)

https://youtu.be/cy7fw1zQofE

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Enfin, Canta U Populu Corsu, qui emprunte une chanson Irlandaise pour en faire une danse Corse.

Parce que cette séance dans le théâtre de Bastia est toujours dans ma mémoire.

Parce qu'il faut savoir lire et comprendre autant qu'écouter et danser.

https://youtu.be/aRnjGcr7EGQ

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J'ai plus de cent titres en tête, bien sûr; c'est chez moi.

Ces quatre titres (cinq ce 17 juin 2023) c'est un choix dans ce que j'aime.

Chacun est différent, chacun à un sens pour moi, chacun est lié à ma vie.

Seule la langue et la culture "nustrale" les relient évidemment.

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Vous ne trouverez pas ces titres au sommet des émissions de radio, ou des commentaires politiques.

Vous les trouverez chez moi, avec quelques clins d’œil plus ou moins visibles, plus ou moins appuyés.

Ces sons me parlent, peut-être vous parleront-ils aussi.

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"Que celui qui a des oreilles pour entendre entende" écrivait Saint Matthieu...
 

00 - Ti tengu cara
00:00 / 03:48
Drapeau du Liban (تانيا قسيس - وطني (دار

Trois sons du Liban

Je continue, ce dimanche après-midi avec des sons qui me reviennent du Liban.

Je n'ai gardé que trois titres, dont un ancien et un autre plus récent. Le troisième de la plus belle voix du Liban

Je sera sans doute critiqué sur les trois.

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Le dernier parce qu'il est dédié à une seule femme dont je n'ai connu que l'estime et la sympathie.

Vraie estime, vraie sympathie, et pas amie politique mais amie tout court; même si elle était, à l'époque, Kataëb.

Nous sommes loin; elle au Liban et moi en France, mais si souvent en phase que les kilomètres ne comptent pas.

Alors c'est à elle que je dédie ce chant magnifique de la cantatrice la plus brillante du monde Arabe:

"Baadak ala bali" autrement dit "Tu es toujours dans mon esprit", par FAIRUZ.

https://youtu.be/S4YRIV-Kxnk

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Le premier chant, maintenant, parce qu'il n'es toujours pas, plus de quarante ans après "politiquement correct", mais toujours - tristement - d'actualité: Demain à l'aube, dans un petit coin d'Orient.

https://youtu.be/hxN89LajDN4

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Le second enfin, en raison de la personnalité de l'interprète, Tania KASSIS.

Je sais que taper sur la cantatrice en robe longue et talons de 15 c'est facile.

Ce n'est pas seulement elle que j'ai vue dans cette vidéo, c'est ce qu'elle exprime: Watani

https://youtu.be/toXZrXqmCE0

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On peut dire qu'elle chante pour la diaspora libanaise parce que c'est ceux qui ont le plus d'argent, et que c'est rentable.

C'est une critique infâme, mais justement, des infâmes et des envieux, il y en a toujours. Partout.

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La diaspora, je connais, je pratique, je le vis.

De la Corse au Liban, il n'y a pas si loin sur ce point.

Croire que parce que l'on parle français, on doit avaler tous les bobards d'une histoire revisitée depuis mai 68, merci.

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N.B.:

Je n'ai jamais lu une ligne sur les pendus du Niolu ou sur la guerre du Fium'orbu dans un livre d'histoire français.

J'ai découvert la réalité de l’œuvre du Roi Théodore et celle de Pasquale PAOLI quasiment tout seul.

Dans des archives.

En revanche, dès la cour de l'école primaire on m'a expliqué que le seul arbre qui ne poussait pas en Corse c'était le bouleau.

Un peu comme si on passait son temps à tailler un cèdre sur le dos d'un Libanais.

Sans autre choix que d'écouter ces débilités au prétexte que c'est de "l'humour français".

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Impossible de comprendre comment on peut idolâtrer un Corse quand il est empereur des Français, se prétendre un grand peuple, un peuple unique avec pensée unique assortie, et ne pas être fichu de descendre du trottoir pour laisser passer une dame.

Et après ça, inventer "c'est Beyrouth" pour décrire une situation de chaos, le tout sans être capable de maintenir l'ordre autrement que très laborieusement dans la périphérie des grandes villes de France.

Surtout quant on sait combien d'argent on verse ("un pognon de dingue") et combien d'emplois on crée pour avoir "la paix sociale "... Ce qui n'empêche pas - toute honte bue - d'aller donner des cours d'administration au Liban de temps en temps.

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Il y a certainement des points sur lesquels nous pouvons apporter une aide au Liban.

Il y en a autant, sinon plus, où nous aurions des leçons à prendre du vécu des libanais.

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Ces titres libanais évoquent un passé toujours actuel, et surtout un sentiment qu'en France (continentale) on oublie volontairement, dans une "mondialisation" trop éprise de "diversité". Cette "diversité" le Liban la connait, mieux que nous.

Le seul remède, c'est ce mot, "Watani"; dont je vous laisse découvrir le sens.

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A moins que vous ne le retrouviez ailleurs?

Dans le drapeau, par exemple.

🇱🇧

Fin de parcours

La France a perdu Jean-Paul BELMONDO, moi j'ai perdu un ami.

La même semaine. Cette même semaine qui s'achève ce 12 septembre 2021.

C'est la raison pour laquelle je place en bas de ma liste ce magnifique titre d'Ennio MORRICONE, "Chi mai".

Que ce soit dans la cour des Invalides, ou au détour d'une rue... il signe une fin de parcours; avec beaucoup d'affection.

CHI MAI. Jean-paul Belmondo. Le professionnelEnnio MORRICONE
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